la gestion catastrophique de la direction du groupe met en danger le site de Crespin, en prenant l’entreprise comme « vache à lait » pour renflouer les pertes d’autres activités et à des fins de profits financiers, quitte à  casser les outils de travail pour privilégier avant tout les fonds de pensions.

– Le non-paiement de nos fournisseurs entraîne le refus de livraisons des pièces.
– 180 contrats intérimaires ne seront pas reconduit d’ici à fin juillet.
– 500 postes cadres, ingénieurs et indirects devraient être supprimés en Europe dont 68 postes sur notre site de Crespin.

L’entreprise  a menacé de ne pas payer les salaires.

Alerte sur les emplois à Bombardier

Qu’attend le gouvernement pour prendre ses responsabilités devant la casse de l’industrie ?

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué annonçant

la conférence de presse commune de SUD  et de la CGT du jeudi 11 juillet !

BOMBARDIER CRESPIN: SITUATION ALARMANTE