NON A LA SUPPRESSION DES IMPRIMEURS A LA DÉPÊCHE DU MIDI

Midi Libre 70 salariésimprimeurs victimes de JM Baylet

La Dépêche s’est lancée dans les restructurations pour privilégier la rentabilité au détriment des salariés.
C’est maintenant au tour de la filiale d’impression de Montpellier, la société Imprimerie du Midi, de subir de drastiques mesures de restriction de personnel.
L’Union syndicale SUD industrie vient d’ailleurs de saisir les tribunaux pour contester ce PSE.
SUD dénonce une presse opaque, qui fait toujours payer par les plus petits les erreurs d’investissement des plus grands.
Nous demandons la suppression d’aucun emploi, et que l’État, avec les organisations syndicales lance des assises de l’imprimerie, afin de sauver la presse papier, l’un des piliers de la démocratie.

Cliquer sur le fac-similé du journal pour lire la déclaration de l’Union Syndicale Sud Industrie 34 

BOMBARDIER CRESPIN: SITUATION ALARMANTE

la gestion catastrophique de la direction du groupe met en danger le site de Crespin, en prenant l’entreprise comme « vache à lait » pour renflouer les pertes d’autres activités et à des fins de profits financiers, quitte à  casser les outils de travail pour privilégier avant tout les fonds de pensions.

– Le non-paiement de nos fournisseurs entraîne le refus de livraisons des pièces.
– 180 contrats intérimaires ne seront pas reconduit d’ici à fin juillet.
– 500 postes cadres, ingénieurs et indirects devraient être supprimés en Europe dont 68 postes sur notre site de Crespin.

L’entreprise  a menacé de ne pas payer les salaires.

Alerte sur les emplois à Bombardier

Qu’attend le gouvernement pour prendre ses responsabilités devant la casse de l’industrie ?

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué annonçant

la conférence de presse commune de SUD  et de la CGT du jeudi 11 juillet !

SIGNEZ LA PÉTITION INTERSYNDICALE DE GENERAL ELECTRIC

Contrairement aux promesses de GENERAL ELECTRIC en 2015 de création de 1000 emplois en France, GENERAL ELECTRIC n’a fait que de détruire l’emploi industriel en France.

Et depuis début 2019 : Plus de 700 emplois sont concernés par des plans de départs

Le 28 mai 2019, GE annonce un nouveau plan de plus de 1000 suppressions d’emplois supplémentaires à Belfort :

Près 50% des effectifs de l’entité « Turbine à gaz » qui compte près 1900 salariés
La fermeture du centre partagé qui compte plus de 200 salariés, créé depuis 2015
Délocalisations en Inde, Mexique Etats-Unis Pologne et Hongrie

Le projet présenté comme une adaptation au marché est en réalité  la dernière étape avant la fermeture complète de l’entité « Turbine à gaz » à Belfort. Aujourd’hui, devant le désastre industriel engendré par ce rachat , nous demandons à l’état français de stopper ce plan massif de délocalisation d’activités hors de France et de travailler avec les organisations syndicales sur leurs propositions de développement de filières industrielles d’avenir sur notre territoire.

1/ Nous avons déjà atteint la taille critique :
2/ Le marché de la turbine à gaz a de l’avenir :
3/ La situation financière de l’entité « Turbine à gaz » de GE de Belfort est artificiellement en déficit :
4/ Le gouvernement doit faire respecter l’accord signé avec GE le 4 novembre 2014

Cliquez sur l’image pour signer la pétition de l’intersyndicale de Général Electric de Belfort

ET N’HÉSITEZ PAS A LA DIFFUSER LE PLUS LARGEMENT DANS VOTRE ENTOURAGE

AMIANTE – TOUT SALARIE EXPOSÉ PEUT FAIRE VALOIR UN PRÉJUDICE D’ANXIÉTÉ

Le collectif amiante Renault se mobilise !

<= Voir le site internet en cliquant sur le logo.
Suite à l’arrêt de la cour de cassation du 5 avril 2019 reconnaissant un « préjudice d’anxiété » pour les salariés exposés à l’amiante durant leur vie professionnelle, le collectif Amiante Renault Ile-De-France lance un appel afin de recenser les salariés et retraités Renault qui souhaiteraient mener une action collective en justice afin de faire reconnaître ce préjudice. Il peut être joint à cette adresse amiante.renault@yahoo.fr

INFORMATIONS SUR LA RÉPARATION DU PRÉJUDICE D’ANXIÉTÉ
Un collectif d’avocats a établi une plaquette explicative sur la procédure à mener pour un salarié exposé à l’amiante.

<= Cliquer sur le PDF ci-joint   pour  lire la plaquette !