BRASERO N°16

Au sommaire

En avant pour la grève générale le 5 décembre !

Nouvelles implantations départementales .

De bons résultats partout !

 

Prochain conseil Syndical 12 et 13 décembre à la

bourse du travail de St-Denis, 9-11 Rue Génin, 93200 Saint-Denis

 

LA TRAHISON DE MICHELIN à LA ROCHE SUR YON

Michelin vient d’annoncer la décision de la fermeture de l’usine de La Roche sur Yon, supprimant 619 emplois et 74 à CHOLET.
SUD Michelin dénonce la trahison d’un pacte d’avenir signé il y a trois ans par la direction de l’entreprise et deux organisation syndicales .
Cette annonce marque aussi une rupture dans la politique social de notre nouveau Patron Florent MENE-GAUX.Tous les salariés Michelin peuvent être inquiets par sa méthode qui conduit inévitablement au rapport de force.

SUD Michelin exige le maintien de l’activité Poids Lourd sur le site de production à La Roche sur Yon et la mise en place d’un projet de transformation du site afin de garantir les emplois des salariés.

Michelin

LES SALARIES SONT EN GRÉVE ILLIMITÉE A COMPTER DE CE JOUR,
JUSQU’AU RETRAIT DU PROJET DE FERMETURE !

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué du SUD MICHELIN

 

NON A LA SUPPRESSION DES IMPRIMEURS A LA DÉPÊCHE DU MIDI

Midi Libre 70 salariésimprimeurs victimes de JM Baylet

La Dépêche s’est lancée dans les restructurations pour privilégier la rentabilité au détriment des salariés.
C’est maintenant au tour de la filiale d’impression de Montpellier, la société Imprimerie du Midi, de subir de drastiques mesures de restriction de personnel.
L’Union syndicale SUD industrie vient d’ailleurs de saisir les tribunaux pour contester ce PSE.
SUD dénonce une presse opaque, qui fait toujours payer par les plus petits les erreurs d’investissement des plus grands.
Nous demandons la suppression d’aucun emploi, et que l’État, avec les organisations syndicales lance des assises de l’imprimerie, afin de sauver la presse papier, l’un des piliers de la démocratie.

Cliquer sur le fac-similé du journal pour lire la déclaration de l’Union Syndicale Sud Industrie 34 

BOMBARDIER CRESPIN: SITUATION ALARMANTE

la gestion catastrophique de la direction du groupe met en danger le site de Crespin, en prenant l’entreprise comme « vache à lait » pour renflouer les pertes d’autres activités et à des fins de profits financiers, quitte à  casser les outils de travail pour privilégier avant tout les fonds de pensions.

– Le non-paiement de nos fournisseurs entraîne le refus de livraisons des pièces.
– 180 contrats intérimaires ne seront pas reconduit d’ici à fin juillet.
– 500 postes cadres, ingénieurs et indirects devraient être supprimés en Europe dont 68 postes sur notre site de Crespin.

L’entreprise  a menacé de ne pas payer les salaires.

Alerte sur les emplois à Bombardier

Qu’attend le gouvernement pour prendre ses responsabilités devant la casse de l’industrie ?

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué annonçant

la conférence de presse commune de SUD  et de la CGT du jeudi 11 juillet !

SIGNEZ LA PÉTITION INTERSYNDICALE DE GENERAL ELECTRIC

Contrairement aux promesses de GENERAL ELECTRIC en 2015 de création de 1000 emplois en France, GENERAL ELECTRIC n’a fait que de détruire l’emploi industriel en France.

Et depuis début 2019 : Plus de 700 emplois sont concernés par des plans de départs

Le 28 mai 2019, GE annonce un nouveau plan de plus de 1000 suppressions d’emplois supplémentaires à Belfort :

Près 50% des effectifs de l’entité « Turbine à gaz » qui compte près 1900 salariés
La fermeture du centre partagé qui compte plus de 200 salariés, créé depuis 2015
Délocalisations en Inde, Mexique Etats-Unis Pologne et Hongrie

Le projet présenté comme une adaptation au marché est en réalité  la dernière étape avant la fermeture complète de l’entité « Turbine à gaz » à Belfort. Aujourd’hui, devant le désastre industriel engendré par ce rachat , nous demandons à l’état français de stopper ce plan massif de délocalisation d’activités hors de France et de travailler avec les organisations syndicales sur leurs propositions de développement de filières industrielles d’avenir sur notre territoire.

1/ Nous avons déjà atteint la taille critique :
2/ Le marché de la turbine à gaz a de l’avenir :
3/ La situation financière de l’entité « Turbine à gaz » de GE de Belfort est artificiellement en déficit :
4/ Le gouvernement doit faire respecter l’accord signé avec GE le 4 novembre 2014

Cliquez sur l’image pour signer la pétition de l’intersyndicale de Général Electric de Belfort

ET N’HÉSITEZ PAS A LA DIFFUSER LE PLUS LARGEMENT DANS VOTRE ENTOURAGE