AMPLIFIONS LA MOBILISATION APRÈS LA RÉUSSITE DU 5 DÉCEMBRE

La journée de grève et de manifestations du 5 décembre 2019 est un signal fort envoyé au gouvernement et au patronat, tant la mobilisation construite a été importante. Débrayages, piquets de grève, manifestations, assemblées générales, blocages, toutes ces formes d’actions  complémentaires ont permis de démontrer notre opposition à une contre-réforme des retraites.

SUD Industrie appelle à reconduire le mouvement là où c’est possible et a renforcer et élargir la grève, dans l’unité syndicale. C’est une condition essentielle pour faire plier le gouvernement et conquérir de nouveaux droits face à la casse industrielle organisée par le patronat de nos secteurs.

grève

Si la grève générale ne se décrète pas et qu’il convient aux salariés de s’en saisir et de le décider, c’est à nous aussi d’envoyer un signal fort : nous devons mettre dès maintenant toutes nos forces dans cette bataille décisive pour tous les salariés, y compris de l’industrie !

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué de l’Union syndicale SUD Industrie.

APPEL DE SUD INDUSTRIE A LA GRÈVE GÉNÉRALE

grève générale

Les grèves et luttes se multiplient dans les secteurs industriels pour la défense de l’emploi.
Non seulement dans l’automobile, le pneumatique, l’industrie énergétique, ou l’imprimerie tous les salariés des secteurs industriels, quels que soient l’entreprise ou leurs statuts y compris les intérimaires et sous-traitants sont durement attaqués.

Ni protectionnisme ni mondialisation sans règles ne pourront régler la mise en concurrence des travailleurs dans le monde, seule l’instauration de règles sociales harmonisées par le haut permettra d’arrêter cette folle concurrence entre salariés.
SUD Industrie rappelle que l’opposition entre public et privé, entre salariés de la même entreprise ou d’entreprises dites concurrentes, n’a qu’un but : éviter d’aborder la question centrale de la redistribution des richesses. Pour ces raisons, nous appelons à la grève générale le 5 décembre 2019 et nous nous inscrivons également dans la perspective du 6 décembre.
Pour construire une autre société, commençons par imposer en opposition à l’arrêt des fermetures d’usine, le développement de l’industrie en y associant les salariés, l’augmentation des salaires et l’amélioration des retraites avec la prise en compte notamment de la pénibilité de nos secteurs.
Place à l’action et à la grève reconductible dès le 5 décembre !

 

Cliquer sur le PDF pour lire l’intégralité du communiqué de L’Union Syndicale Sud Industrie publié dans le dernier Brasero  =>

LA TRAHISON DE MICHELIN à LA ROCHE SUR YON

Michelin vient d’annoncer la décision de la fermeture de l’usine de La Roche sur Yon, supprimant 619 emplois et 74 à CHOLET.
SUD Michelin dénonce la trahison d’un pacte d’avenir signé il y a trois ans par la direction de l’entreprise et deux organisation syndicales .
Cette annonce marque aussi une rupture dans la politique social de notre nouveau Patron Florent MENE-GAUX.Tous les salariés Michelin peuvent être inquiets par sa méthode qui conduit inévitablement au rapport de force.

SUD Michelin exige le maintien de l’activité Poids Lourd sur le site de production à La Roche sur Yon et la mise en place d’un projet de transformation du site afin de garantir les emplois des salariés.

Michelin

LES SALARIES SONT EN GRÉVE ILLIMITÉE A COMPTER DE CE JOUR,
JUSQU’AU RETRAIT DU PROJET DE FERMETURE !

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué du SUD MICHELIN

 

NON A LA SUPPRESSION DES IMPRIMEURS A LA DÉPÊCHE DU MIDI

Midi Libre 70 salariésimprimeurs victimes de JM Baylet

La Dépêche s’est lancée dans les restructurations pour privilégier la rentabilité au détriment des salariés.
C’est maintenant au tour de la filiale d’impression de Montpellier, la société Imprimerie du Midi, de subir de drastiques mesures de restriction de personnel.
L’Union syndicale SUD industrie vient d’ailleurs de saisir les tribunaux pour contester ce PSE.
SUD dénonce une presse opaque, qui fait toujours payer par les plus petits les erreurs d’investissement des plus grands.
Nous demandons la suppression d’aucun emploi, et que l’État, avec les organisations syndicales lance des assises de l’imprimerie, afin de sauver la presse papier, l’un des piliers de la démocratie.

Cliquer sur le fac-similé du journal pour lire la déclaration de l’Union Syndicale Sud Industrie 34 

BOMBARDIER CRESPIN: SITUATION ALARMANTE

la gestion catastrophique de la direction du groupe met en danger le site de Crespin, en prenant l’entreprise comme « vache à lait » pour renflouer les pertes d’autres activités et à des fins de profits financiers, quitte à  casser les outils de travail pour privilégier avant tout les fonds de pensions.

– Le non-paiement de nos fournisseurs entraîne le refus de livraisons des pièces.
– 180 contrats intérimaires ne seront pas reconduit d’ici à fin juillet.
– 500 postes cadres, ingénieurs et indirects devraient être supprimés en Europe dont 68 postes sur notre site de Crespin.

L’entreprise  a menacé de ne pas payer les salaires.

Alerte sur les emplois à Bombardier

Qu’attend le gouvernement pour prendre ses responsabilités devant la casse de l’industrie ?

Cliquez sur l’image pour lire le détail du communiqué annonçant

la conférence de presse commune de SUD  et de la CGT du jeudi 11 juillet !